• L'histoire de Cyril

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    Cyril (en bas à droite) et la toute jeune équipe de Malaika

    L'histoire d'une rencontre improbable 

    Il est parfois difficile de dissocier la naissance d'une association du parcours de son fondateur. C'est le cas pour Malaïka, l'histoire de notre ami Cyril et la rencontre improbable qu'il a faite en Ouganda, à l'été 2022.

     

    Tout commence donc par un voyage en Afrique et des vacances scolaires consacrées à du volontariat. Comme de nombreux étudiants, Cyril souhaitait donner du temps et s'engager pour une belle cause, mais rien de plus.

     

    Sur place depuis quelques semaines, il rencontre un peu par hasard, un ancien enfant des rues qui héberge aujourd'hui d'autres enfants des rues.

     

    Avec les moyens du bord. Ce n'est rien de le dire... Peu de vêtements, quelques matelas à même le sol et plus de 25 enfants hébergés dans un espace qui fait à peine... 40 M² !

     

    Et voici Cyril qui décide de les soutenir. A titre privé d'abord. Puis avec quelques amis et parents.

     

    Au début, on se contente de mettre les enfants dans un internat, ce qui leur assure non seulement de sortir de la rue, mais leur garantit au passage 3 repas quotidiens et un accès à l'éducation, ce précieux sésame pour un avenir possible.

     

    Petit à petit, Cyril et ses amis découvrent aussi que l'école évite aux enfants d'être soumis aux lois les plus rudes de la rue, dans un pays où la mendicité infantile est interdite et... passible d'amendes.

     

    Voyant à quel point quelques dizaines d'euros par mois peuvent changer la vie d'un enfant là-bas, ils découvrent en même temps le plaisir de les faire passer de la précarité quasi totale à un monde de possibles. Et de ventres pleins.

     

    Cyril et ses amis, toujours étudiants, décident donc de s'organiser.

     

    C'est ainsi que l'asbl Malaïka est née il y a peu : pleine d'espoir(s) et de défi(s) que nous rêvons de relever avec vous.

     

    Nous pensons que le bonheur est contagieux : rejoignez-nous !

     

  • AIDEZ-NOUS A LEUR OFFRIR UN AVENIR MEILLEUR !

    ° Nous connaissons chaque enfant personnellement

    ° Vos dons nous permettent de les sortir de la rue en quelques jours

    ° Vous recevrez régulièrement de leurs nouvelles via l'espace privé de ce site

  • Témoignage de Cyril, fondateur de Malaïka : 

    "Une des caractéristiques de Malaika, c'est que nous connaissons personnellement chacun des enfants que nous vous invitons à parrainer. Loin des grands programmes des grandes ONG, notre ambition se limite à un impact concret, immédiat et au long terme, pour la vie de ces enfants.

     

     

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    Cyril sur place et les enfants

    On vous a dit que Cyril avait les cheveux blonds ?!? ;-)

    Grâce aux premiers fonds récoltés nous avons pu leur acheter des matelas, des vêtements, un peu de matériel de cuisine, des bancs pour qu'ils puissent s'asseoir ailleurs que par terre lorsqu'ils mangent,...

     

    Nous avons depuis trouvé un internat capable de prendre en charge les enfants au long terme. Celui-ci est équipé d'un dispensaire, de dortoirs d'une quinzaine de place, fournit deux uniformes par enfants, le matériel scolaire ainsi que 3 repas par jours, qui varient au fur et à mesure de la semaine.

     

    De plus, nous avons retrouvé et contacté au moins un membre de la famille de chaque enfant. Sur ce point-ci, quelques précisions s'imposent ! Premièrement, nombreux des enfants dont Jacob (notre relai sur place) s'occupe, ont été placés chez un grand-parent, une grande tante ou un autre proche éloigné par la famille elle même. Ceci s'est fait pour différentes raisons telle que le déplacement des parents pour le travail, le décès d'un ou des parents ou alors l'inhabilité de ceux-ci à s'occuper des enfants pour cause de problèmes mentaux, d'alcoolisme, etc.

     

    Souvent, ces proches deviennent eux-mêmes inaptes à prendre en charge les enfants par manque d'argent et/ou, souvent, à cause de la vieillesse. C'est ainsi que certains d'entre eux, vivant au final dans la rue, ont été recueilli par Jacob. La raison pour laquelle lui les appelle des orphelins est donc parce que plus personne dans leurs familles n'est capable de s'occuper d'eux et qu'ils sont pour la plupart livrés à eux-mêmes.

     

    Seulement, selon la loi ougandaise, un enfant n'est considéré orphelin que s'il n'a plus aucun membre de sa famille en vie. Pour cause, de nombreuses institutions en Ouganda et ailleurs en Afrique se décrivaient comme 'orphelinats' alors qu'il s'agissait en fait d'une façade pour récolter de l'argent de pays étrangers, soit en ''vendant des enfants à l'adoption'', soit en récoltant des fonds dans le but de ''subvenir au besoin des enfants''.

     

    De plus, de nombreuses études ont prouvés qu'un orphelinat affecte gravement la santé mentale, physique et sociale des enfants, de par le manque de lien avec leurs proches, et ce phénomène est encore plus flagrant lorsqu'on fait la comparaison avec les enfants bénéficiant d'un encadrement familial.

     

    Il nous paraissait donc inconcevable de ne pas enquêter sur le fait qu'il reste ou non des membre en vie de leur famille. Après avoir contacté ceux-ci, ils nous ont malheureusement tous dit ne pas être capable de prendre soin de leur enfant recueilli chez Jacob. Puis suite à d'autres discussions, la plupart nous a dit qu'ils souhaiteraient à nouveau pouvoir s'en occuper mais qu'ils avaient d'abord besoin d'aide.

     

    Après avoir reçu toutes ces informations et avoir eu toutes ces discussions, nous avons décidé de donner une nouvelle tournure au projet : nous souhaiterions rétablir le lien entre les enfants et leurs familles afin qu'ils puissent savoir d'où ils viennent, qu'ils bénéficient du support de celles-ci, qu'ils jouissent du mentorat que ce contact leur apporte et de tous les avantages qui s'en suivent, tout en leur offrant l'accès à la scolarité dans l'internat qui leur posera un cadre bien défini et un suivi de qualité. En plus, Jacob ayant aussi grandi dans la rue, nous souhaiterions qu'il puisse à son tour suivre une scolarité adapté aux adultes afin de lui donner les capacités d'être plus autonome à l'avenir.

     

    Si vous avez suivi cette aventure au départ, vous savez que la scolarisation des ces enfants est une priorité pour nous. Il ne nous manque plus que les fonds. C'est ici que nous avons besoin de vous.

     

    "Le coût d'un trimestre pour un enfant est de 77€ (soit environ 20€/mois). Avec 25 enfants et nos quelques frais de fonctionnement, nous avons besoin pour le moment d'environ 700€/mois en tout. Soit une vingtaine de parrains. C'est notre premier objectif. Et nous souhaitons l'atteindre avec votre aide."

     

    Ce montant est payable en plusieur fois, comme convenu avec le directeur de l'établissement. Si vous êtes donc en capacité de faire un don ou (mieux encore) un don mensuel, si vous connaissez quelqu'un qui souhaite le faire, ou que vous avez un quelconque moyen de ralayer nos actions ou de récolter de l'argent, nous avons besoin de vous !

     

    Le moindre euro compte !

     

    Nous avons déjà organisé de nombreux évènements et récolté des fonds de façon réccurente auprès de divers services clubs et autres organismes de financement mais ces processus prennent beaucoup plus de temps et il faut sans cesse les renouveler. Nous souhaitons désormais aller vers des parrainages mensuels. Ils sont plus stables et offret des rentrées financières récurrentes qui répondent justement au besoin de stabilité de enfants.

     

    Bref, nous souhaitons nous engager au long terme à leur côté.

     

    Nous avions déjà réunis 1012 euros lors du premier lancement d'une cagnotte en février 2022. Cet argent a été très utile et nous comptons encore sur votre générosité pour aider les 25 enfants. 

     

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